Les conséquences du réchauffement climatique ne sont aujourd’hui plus sérieusement remises en cause par quiconque et ses effets concrets sont chaque jour plus palpables : les catastrophes naturelles se multiplient à travers le monde, l’acidification des océans atteint des sommets jamais vus auparavant, et le dérèglement du climat a déplacé trois fois plus de personnes que les conflits armés en 2013.

Sans une réduction très importante de nos émissions de gaz à effet de serre, la jeunesse – cette fameuse « génération future » – subira de plein fouet cette crise écologique et sociale, et devra abandonner l’espoir de vivre aussi bien, voire mieux, que ses parents. Pourtant, cette jeunesse refuse de se résigner car les solutions existent et se propagent, malgré les annonces politiques trop peu souvent concrétisées en actes.

Il est à craindre que le sommet mondial sur le climat convoqué par le secrétaire général de l’ONU le 23 septembre prochain, tout comme les négociations de Paris en décembre 2015, retombent dans ces mêmes travers : l’immobilisme, les intérets privés et la crainte du changement hypothèquent bien trop souvent l’espoir d’un vrai changement de modèle.

Si les responsables politiques n’ont pas le courage de regarder en face la réalité du réchauffement climatique, c’est à la jeunesse de les pousser à le faire. Le 21 septembre, les Jeunes Écologistes iront donc porter ce message aux différentes Marches pour le Climat organisées dans de nombreuses villes de France. À Nice, Lille, Nantes, Toulouse, Bordeaux, Lyon, Rennes, Marseille, Paris, à La Réunion et ailleurs, ils et elles seront présent-e-s avec tous leurs espoirs, aux cotés de différentes organisations et de nombreux citoyen.ne.s, pour réclamer enfin des engagements ambitieux et contraignants permettant de préserver la planète.

CONTACTS PRESSE :

  • Rosalie Salaün – porte-parole : 06 86 28 69 04
  • Laura Chatel – secrétaire fédérale : 06 29 85 75 95
Share This