Pour en finir avec le diktat des lobbies de l’agro-business, cette année encore, les Jeunes Écologistes appellent à rejoindre les marches contre Monsanto organisées dans de nombreuses villes de France et du monde le 23 mai.

Introduction de nouveaux OGM sur le marché européen, vente de produits cancérigènes avérés, brevetage et appropriation du vivant : la liste des méfaits de la firme Monsanto est aussi longue qu’une feuille de maïs transgénique ! Cette multinationale incarne tous les travers de l’agriculture industrielle : accaparement des terres, disparition de la biodiversité, OGM, pesticides ne sont que quelques-uns des poisons qu’elle cherche à nous faire avaler. Et ce avec l’accord tacite de gouvernements libéraux, toujours au nom des mêmes croyances : le libre-échange et la marchandisation pour alimenter la sacro-sainte croissance économique, quitte à placer les profits des grands groupes de l’agro-business devant l’intérêt des simples citoyens.

Pourtant, loin de cette vision cauchemardesque, l’alternative existe et s’organise : échanges libres de semences, production et distribution locales, passage au bio, jardins potagers partagés, etc. C’est aussi, cette année, plus de 40 marches contre Monsanto organisées en France et dans le monde.  “Le mouvement grandit, les citoyen.ne.s en ont assez de la vision de l’agriculture prônée par Monsanto & cie”, remarque Rosalie Salaün, porte-parole des Jeunes Écologistes.

Il est temps que le gouvernement fasse de vrais choix politique en faveur de l’agro-écologie, en soutenant la conversion en bio, l’agriculture paysanne et les circuits courts. “Plutôt que de concentrer la production entre les mains de quelques hommes d’affaires, nous créerons ainsi des milliers d’emplois dans des fermes à taille humaine et respectueuses de la santé et de l’environnement“, conclut Rosalie Salaün.

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CONTACTS PRESSE :

  • Rosalie Salaün – porte-parole : 06 86 28 69 04
  • Lucas Nédélec – secrétaire fédéral : 07 77 07 45 69
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