A Notre-Dame des Landes, le gouvernement, dirigé par l’ancien maire de Nantes, a décidé d’utiliser non plus la force, mais la violence, pour déloger les opposants pacifistes à l’aéroport, habitants de la région ou paysans délogés par le projet, qui occupent le terrain.

Les forces de police utilisent des méthodes inadmissibles : outre les méthodes déployées depuis deux semaines, comme l’usage des gaz lacrymogènes et la destruction illégale d’habitations, ce sont cette fois-ci des flashballs et des grenades explosives qui servent à la répression.

Les Jeunes écologistes condamnent cette violence délibérée, et cette démonstration de force brute, qui prouvent la fébrilité du gouvernement.

Les Jeunes écologistes condamnent l’obstination et l’incohérence du Premier ministre et des socialistes, qui après s’être indignés de la violence policière lorsque la droite était au pouvoir s’y rallient sans hésitation aucune.

Les Jeunes écologistes demandent au gouvernement de revenir sur cette attitude réactionnaire pour enfin écouter les habitant-e-s, les riverains, les associations de défense de l’environnement, les agriculteurs, et constater l’inutilité et le coût de cet aéroport.

Les Jeunes écologistes affirment une fois de plus tout leur soutien aux opposant-e-s à l’aéroport, en particulier aux occupants de la « Zone à défendre », et appellent à la mobilisation en soutien à leur combat légitime et nécessaire.

Contacts Presse :

  • Wandrille Jumeaux – Secrétaire fédéral : 06 58 05 97 98
  • Lucile Koch-Schlund – Secrétaire fédérale : 06 79 35 28 16
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